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Faire le deuil d’un compagnon

Faire le deuil d’un compagnon
 

On aimerait les croire immortels, mais viendra pourtant un jour où il faudra leur dire au revoir. Comment se préparer au deuil et le traverser ?

 

Douze ans environ pour un chien, onze ans pour un chat… Même si l’espérance de vie moyenne* de nos animaux domestiques a quasiment doublé en trois décennies, il est toujours trop tôt pour les voir partir. Face au chagrin de cette disparition, chaque membre de la famille réagit à sa façon…

Les circonstances dans lesquelles notre compagnon décède jouent bien évidemment un rôle primordial sur la manière dont nous allons par la suite faire face à la situation. La mort d’un animal vieillissant, menant depuis quelques années une fin de vie paisible, n’aura pas le même impact sur ses maîtres que le décès accidentel d’un jeune chien, fauché par un drame ou une maladie. Dans le premier cas, l’extinction lente de l’animal habitue peu à peu les maîtres à la perte de leur compagnon. Ils peuvent alors s’y préparer à l’avance. Dans le second cas, le choc est beaucoup plus violent et le deuil plus difficile. Un travail de reconstruction, passant par les cinq étapes clés du déni, de la colère, de la nostalgie, de la mélancolie et enfin de l’acceptation, est alors indispensable. Trop souvent négligées dans notre société, toutes ces phases font partie du nécessaire processus de deuil. Dans ces moments particulièrement douloureux, il est important de pouvoir exprimer ce que l’on ressent auprès de sa famille ou de ses amis.

L’union fait la force

La disparition de leur petit compagnon de jeu est souvent le premier décès auquel sont confrontés les plus jeunes membres de la famille. Ce premier contact avec la mort suscite chez eux de nombreuses interrogations et le pire serait de leur cacher la vérité en disant que l’animal est simplement parti ou perdu. À vous d’exprimer les choses sans détour, avec des mots clairs, sans entrer dans les détails qui pourraient être choquants : cela permettra à l’enfant de mieux assimiler la réalité de la perte et de laisser parler son chagrin. De nombreuses questions jailliront sans doute de cette nouvelle. Répondez-y franchement pour le rassurer. Et n’hésitez pas à exprimer votre propre peine : l’enfant saisira ainsi d’autant mieux la légitimité de sa propre douleur.

Les autres animaux de la maison vont eux aussi ressentir le vide laissé par le compagnon de vie avec lequel ils avaient tissé des liens. Dans votre chagrin, veillez à leur accorder toute l’attention que vous leur portez habituellement et à ne pas changer leurs habitudes.

Faire le deuil d’un compagnon

En grande cérémonie

On le sait : la cérémonie du deuil n’est pas qu’un rite de passage dans l’au-delà. C’est aussi une façon pour les vivants de rendre un dernier hommage au disparu et de lui dire au revoir. Quel que soit l’animal que vous pleurez – chien, oiseau ou hamster – un cérémonial est nécessaire. En Nouvelle-Calédonie, les options sont peu nombreuses : la crémation ou l’inhumation. Dans tous les cas, tout se passera au Repos des lacs, seul centre funéraire animalier du Caillou. Soit vous passez par un vétérinaire, soit vous vous rendez directement au Repos des Lacs. Vous pouvez choisir une crémation collective ou individuelle. Vous avez l’option de laisser l’urne funéraire dans un columbarium au cimetière pour animaux de la Tamoa, ou de la récupérer. Le Repos des lacs propose différents types d’urnes. Si vous optez pour l’inhumation, vous pouvez enterrer votre compagnon sur le terrain de la Tamoa, aux côtés d’autres animaux.

Vous pourrez alors lui rendre hommage quand bon vous semblera, ou même planter un arbre sur sa tombe en guise de stèle.

Renseignements : Le Repos des lacs : 79 13 79

SUR LE NET

Pour perpétuer la mémoire de leur cher disparu, certains maîtres ont désormais recours aux services de la Toile qui leur offre la possibilité d’inscrire leur compagnon sur un mémorial virtuel (www.cimetierepourchat.com ou www.cimetierepourchien.com), voire de créer un blog en leur honneur.

Sur le net ...

 

 

Douze ans environ pour un chien, onze ans pour un chat… Même si l’espérance de vie moyenne* de nos animaux domestiques a quasiment doublé en trois décennies, il est toujours trop tôt pour les voir partir. Face au chagrin de cette disparition, chaque membre de la famille réagit à sa façon…

Les circonstances dans lesquelles notre compagnon décède jouent bien évidemment un rôle primordial sur la manière dont nous allons par la suite faire face à la situation. La mort d’un animal vieillissant, menant depuis quelques années une fin de vie paisible, n’aura pas le même impact sur ses maîtres que le décès accidentel d’un jeune chien, fauché par un drame ou une maladie. Dans le premier cas, l’extinction lente de l’animal habitue peu à peu les maîtres à la perte de leur compagnon. Ils peuvent alors s’y préparer à l’avance. Dans le second cas, le choc est beaucoup plus violent et le deuil plus difficile. Un travail de reconstruction, passant par les cinq étapes clés du déni, de la colère, de la nostalgie, de la mélancolie et enfin de l’acceptation, est alors indispensable. Trop souvent négligées dans notre société, toutes ces phases font partie du nécessaire processus de deuil. Dans ces moments particulièrement douloureux, il est important de pouvoir exprimer ce que l’on ressent auprès de sa famille ou de ses amis.

L’union fait la force

La disparition de leur petit compagnon de jeu est souvent le premier décès auquel sont confrontés les plus jeunes membres de la famille. Ce premier contact avec la mort suscite chez eux de nombreuses interrogations et le pire serait de leur cacher la vérité en disant que l’animal est simplement parti ou perdu. À vous d’exprimer les choses sans détour, avec des mots clairs, sans entrer dans les détails qui pourraient être choquants : cela permettra à l’enfant de mieux assimiler la réalité de la perte et de laisser parler son chagrin. De nombreuses questions jailliront sans doute de cette nouvelle. Répondez-y franchement pour le rassurer. Et n’hésitez pas à exprimer votre propre peine : l’enfant saisira ainsi d’autant mieux la légitimité de sa propre douleur.

Les autres animaux de la maison vont eux aussi ressentir le vide laissé par le compagnon de vie avec lequel ils avaient tissé des liens. Dans votre chagrin, veillez à leur accorder toute l’attention que vous leur portez habituellement et à ne pas changer leurs habitudes.

Faire le deuil d’un compagnon

En grande cérémonie

On le sait : la cérémonie du deuil n’est pas qu’un rite de passage dans l’au-delà. C’est aussi une façon pour les vivants de rendre un dernier hommage au disparu et de lui dire au revoir. Quel que soit l’animal que vous pleurez – chien, oiseau ou hamster – un cérémonial est nécessaire. En Nouvelle-Calédonie, les options sont peu nombreuses : la crémation ou l’inhumation. Dans tous les cas, tout se passera au Repos des lacs, seul centre funéraire animalier du Caillou. Soit vous passez par un vétérinaire, soit vous vous rendez directement au Repos des Lacs. Vous pouvez choisir une crémation collective ou individuelle. Vous avez l’option de laisser l’urne funéraire dans un columbarium au cimetière pour animaux de la Tamoa, ou de la récupérer. Le Repos des lacs propose différents types d’urnes. Si vous optez pour l’inhumation, vous pouvez enterrer votre compagnon sur le terrain de la Tamoa, aux côtés d’autres animaux.

Vous pourrez alors lui rendre hommage quand bon vous semblera, ou même planter un arbre sur sa tombe en guise de stèle.

Renseignements : Le Repos des lacs : 79 13 79

SUR LE NET

Pour perpétuer la mémoire de leur cher disparu, certains maîtres ont désormais recours aux services de la Toile qui leur offre la possibilité d’inscrire leur compagnon sur un mémorial virtuel (www.cimetierepourchat.com ou www.cimetierepourchien.com), voire de créer un blog en leur honneur.

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